La première série de livres policiers reprend les codes de la photographie du constructivisme en opposant les lignes urbaines et celles du corps. Le visage de la jeune femme n'est jamais réellement dévoilé, annonçant une intrigue autour d'elle. L'imperméable reprend quant à lui un code connu de l'enquête policière plantant davantage le décors de l'histoire.
La seconde oeuvre se classe aussi de le registre policier. Les yeux sont supprimés de la photographie. Véritables garants de l'identité ils posent une nouvelle fois l'objet de l'énigme, cette femme rousse, posée dans le sable, allongée ou bien pire. La vision de sa chair annonce peut-être des indices quant au déroulement du roman.
